Fred Solojak

Fred Solojak

Aux disparues éparses... (4)

Je suis l’aigri vain privé de mémoire

Ma tête résonne sous la falaise

Et sous la noble volaille laminant le ciel

Je dérive sur la patinoire des galets

Coquets

 

Le vent se lève au-delà de la frontière

Limitant entre ciel et eau le flux de la terre

Celle-ci pourtant coule dans les veines

De l’homme indifférent que je m’efforce d’être

Au sourire de l’enfant, à celui de la mère

Océane

 

Vague dans l’âme et cœur dans la tempête

Qui peut oublier celle qui n’a pas été

Ce qu’elle aurait dû  être à vos côtés

Alors que sous l’étoile du nord

S’étiolent quelques cris  d’amants

Se cherchant, se trouvant

 

Voilà, déjà le soir tombe

Il me faut revenir la marée monte

Tandis que le vol des goélands

Emporte vers l’horizon

Les lettres d’un prénom

et celles de ton « non »...

 

Fred Solojak

 

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Bon Dieu, que tout cela est triste et aigri et vain... Lisez plutôt mes aventures, c'est plus rigolo !

(Dan Bracco)

 

"Pépins en stock! "

"Quatrième de couverture" - Résumé (si on peut dire...)

 

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26/07/2014
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